Je déteste les fleurs. Attention, dans un champ, une serre ou dans un vase sur la table de la salle à manger, j’approuve. Mais sur les vêtements, je les déteste. Le motif Liberty me sort littéralement par les yeux. Je ne dois pas être une fille à imprimés. La plupart du temps, je me dirige vers des pièces unies qui se distingue grâce à leur matière. Alors, comment expliquer mon coup de cœur pour cette petite robe d’été shoppée en soldes chez Stradivarius ?
Comme des fleurs tropicales
Je te l’ai confié dans mon article sur ma tenue de mariage : je fonctionne aux couleurs. Je perçois d’abord les couleurs et si elles m’interpellent, je m’intéresse à la coupe. Ceci explique sans doute pourquoi je suis rapide comme l’éclair lorsqu’il s’agit de faire du shopping. Sur Internet c’est pareil. Inutile de voir un à un chaque article dans le détail, je ne m’arrête que quand mon œil est attiré quelque part. Je crois que c’est le contraste qui m’a attiré ici. Le contraste entre le fond blanc de la rode et ses motifs floraux bleus, roses, verts si intenses. Les fleurs auraient pu me rebuter mais celles-ci ne sont pas comme les autres. Elles sont originales, volumineuses, saturées et revêtent différentes formes. Elles se mêlent les unes aux autres sans ordre précis sans pour autant occuper tout l’espace. Le blanc de la robe est toujours visible et n’est pas étouffé par les fleurs.
Robe-chemise
Puis la forme m’a convaincue elle-aussi. Les fines bretelles, la légèreté qui n’est pas accompagnée de la transparence. C’est une robe d’été droite, qui ne moule pas dans laquelle on peut bouger sans tracas ou se faire un repas bien copieux en étant pénard. Le détail qui m’a marqué c’est l’effet chemise. Au milieu se trouve une ligne de boutons dont la plupart est cousue mais pas ceux du bas de la robe. Je ne dois pas être la seule à avoir craqué pour elle puisqu’elle est déjà sold out alors que je n’ai pas traîné pour faire les photos et poster cet article.
Mode « décolleté plongeant » activé
Certes elle est décolletée, le soutif est potentiellement apparent. Oui, je dis « soutif » et non « soutien-gorge » parce que je déteste ce mot. Toi aussi il y a des mots qui te font saigner des oreilles ^^ ? Perso, le soutif apparent ne me dérange pas (s’il est joli), j’en ai carrément rien à faire. Ici je trouve que sa couleur va bien avec le reste. Puis, l’important c’est d’être à l’aise dans les vêtements que l’on porte. J’aurais pu en mettre un qui soit adhésif mais avec la chaleur c’est assez désagréable. Heureusement, les bretelles sont ajustables, ce qui peut mettre un terme à cette discussion. Mieux vaut ajuster un chouia seulement les bretelles sinon, l’avant de la robe n’est plus très joli.
Passion métaux
J’ai failli conclure cet article en oubliant de parler de ses mocassins or shoppés eux-aussi en soldes chez Stradivarius. La première fois que je les ai mis, j’ai été agréablement surprise. La semelle est épaisse, on a un bon maintient et pour le prix où je les ai eus (7,99 euros), je ne m’y attendais pas. J’ai une fâcheuse tendance à toujours opter pour des chaussures noires, j’ai d’ailleurs acheté une autre paire de mocassins dans ce coloris dont je parlerai bientôt. Mais finalement on peut assortir les couleurs métalliques comme le rose gold, le bronze, l’or et l’argent avec tout.
Et là, je me rends compte que j’ai encore blablaté sur des dizaines de lignes alors qu’avant de commencer à écrire, je m’étais répétée : « 200 mots max, 200 mots max, 200 mots max ». Un jour, j’y arriverai.
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Qu’est ce que tu es belle :)! C’est la petite robe efficace, j’ai bien aimé le côté « pouvoir bouffer pénard » sans que ça se voit 😀 Et moi j’aime quand tu blablates.
Bisous