Comme annoncé dans mon précédent article (et parce que je ne suis pas une girouette … enfin la plupart du temps), me voilà déjà de retour sur le blog avec un look shooté en … 2023.
Pourquoi m’a-t-il fallu autant de temps ?
2025, c’est l’année du no limit on a dit ! On ne se pose pas de question. On va au bout de ses idées. J’arrête d’être dans le futur ou dans la sur-interprétation. J’avance, un post à la fois.
2025 c’est également l’année de la grande liquidation des contenus restés en brouillon. Ici en l’occurrence, il s’agit de photos abandonnées dans un coin car :
- “là on voit vraiment, vraiment, que j’ai pris 15 kg”
- “mon visage est tout bouffi”
- “j’ai perdu la main, je ne sais plus poser (si tentais que je l’ai su un jour)”
- “j’étais hyper mal à l’aise pendant le shooting et ça se voit”
- “y’en a pas une de bonne”
- “enfin si, y’en a quelques unes de bonnes mais pas assez pour en faire un article. Encore moins pour les poster sur Insta”
- “celle-là est bien mais mon blazer est mal mis”
- “puis, je remplis trop mon décolleté. Je n’ai pas l’habitude, ça me met mal à l’aise”
- …
Liste non-exhaustive, bien sûr !
Satin forever !
Je fais fi de toutes ces pensées négatives pour poster ce look. Car, 1 an et demi plus tard, ces photos ne m’ont plus l’air si terribles.
En grande partie parce que cette robe longue asymétrique plissée et satinée de chez Mango est incroyable. Je crois que je n’ai jamais utilisé autant d’adjectifs pour décrire une robe ! Ma passion pour les robes et les jupes satinées grandit de jour en jour. Sérieusement, ne trouves-tu pas que les pièces satinées donnent cet effet stylé, sophistiqué ?
J’ai toujours envié les nanas qu’un rien habille. Parce que moi, j’ai toujours eu besoin de faire plus d’efforts pour être potable. J’ai toujours voulu faire partie du club et le satin, c’est mon ticket d’entrée.
Ce qu’il y a de bien avec le satin c’est que mine de rien, il s’adapte à toutes les occasions. J’ai portée cette robe pour une célébration de mariage récemment. Ici, il s’agissait un simple brunch entre amies. J’ai donc ajouté un blazer souple en crêpe de chez Stradivarius, une ceinture taille haute et mes bottines Eugénie de Sézane. En y réfléchissant, je ne suis pas sûre que ce soit une ceinture taille haute. Je pense que j’ai commandé la plus petite taille exprès pour en faire cet usage. Côté sac, c’est encore et toujours le Numéro Un bi-matière de Polène.
Le seul imprimé qui trouve grâce
Cerise sur le gâteau : c’est l’un des rares imprimés qui ne me sort pas par les yeux.
Je déteste les rayures. Je ne suis pas très fan des pois. Et, quand je craque pour une pièce imprimée, je compte les jours avant de ne plus pouvoir la voir en peinture.
Ici, pas de lassitude ni d’envie de se crever les yeux après quelques semaines. Les couleurs sans doute. Ou bien le côté abstrait. Peut-être que ce qui m’ennuie dans l’imprimé, c’est son côté répétitif et prévisible. Ici, à chaque mouvement, j’ai l’impression de redécouvrir cette robe. J’ai l’impression qu’elle se dévoile davantage.
En fait, le seul problème de cette robe se situe au niveau des bretelles. Elle sont trop longues et trop fines se qui peut s’avérer agaçant au fil de la journée. Je pense qu’à l’occasion, je les ferai remplacées.
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