Pangaia débarque aux Galeries Lafayette ! C’est le moment de te révéler ce que je pense réellement de leurs vêtements.
Il est déjà temps de remettre ses sweats !
Loin de me déprimer cette situation m’excite car je suis bien équipée. L’an dernier, j’ai profité du Black Friday pour faire l’acquisition de quelques pièces Pangaia. J’étais tellement séduite par le concept, l’engagement écologique, les prouesses technologiques, que je n’ai pas pu attendre pour te présenter cette marque. Elle mérite bien plus d’attention qu’elle n’en reçoit actuellement !
Aimer une marque, son mantra, ses engagements, son mood board, c’est une chose. Mais, le plus important dans tout ça, c’est de savoir si ses produits sont à la hauteur de ses grandes ambitions. Après t’avoir vanté les mérites de Pangaia, il est temps d’entrer dans le vif du sujet et de savoir ce que valent vraiment ses vêtements.
L’expérience d’achat Pangaia
Trêve de suspense ! Oui, ma commande était largement à la hauteur de mes attentes pour 5 raisons.
Une livraison de qualité
J’ai été livrée depuis l’Angleterre avec 3 jours d’avance sur la date annoncée. La livraison DHL était hyper sécurisée. J’ai été tenue au courant à chaque étape. le livreur m’a demandé mon code à la livraison… Cerise sur le gâteau : je n’ai pas payé de frais de douanes ! Et ça mon ami, à l’heure du Brexit, c’est extrêmement appréciable. Deux semaine avant, j’ai commandé une combinaison de yoga/pilates Ernest Leoty à 120 euros pour laquelle j’ai dû payé 29 euros de frais de douanes. Récemment j’ai commandé des accessoires Cocopup pour les balades avec mon chien. une belle commande à 100 euros et j’ai dû débourser 33 euros de frais de douane. Alors que chez Pangaia, j’en ai eu pour 360 euros (la qualité et l’innovation ont un coût) mais je n’ai pas été taxée.
Bon, je ne sais pas si c’est normal ou si j’ai eu un coup de chance. Mais déjà, ça m’a mise dans de bonnes dispositions. De ton côté, tu peux aussi faire tes achats aux Galeries Lafayette où un pop up Pangaia vient d’ouvrir ses portes.
Des produits bien emballés
J’ai été un peu tête en l’air et je n’ai pas pensé à shooter les emballages avant de m’en débarrasser. Pourtant il s’agissait d’une matière compostable en partie biologique à base d’huile de menthe poivrée. Sur le devant on pouvait lire :
This pacage is part bio-based, acting to preserve both you new garment and your environment. Once opened, please discard responsibly in a compost facility to allow full breakdown within 24 weeks. Join the movement because no actions is too small to make a positive change.
If discarding in a home compost, it will fully break down within 12 months.
Pangaia
D’ailleurs ce genre de petits paragraphe est la marque de fabrique de Pangaia. Sur chaque vêtement, on trouve un petit texte expliquant quelles matières ont été utilisées pour le confectionner, pourquoi c’est important et ça fait la différence. J’aime l’initiative. Je trouve aussi qu’elle est mise en œuvre de telle façon que ç’en devient un élément fashion.
Par ce simple packaging, on constate que l’engagement est partout et que rien n’est laissé au hasard.
Une couleur intense
Les visuels étaient si beaux sur le site, que j’avais une petite appréhension. Est-ce que je ne vais pas être déçue quand je vais recevoir les produits ? La réponse est non. Les couleurs sont aussi éclatantes et intenses qu’elles en ont l’air sur le site. Pour moi, la couleur est primordiale. C’est ce qui m’attire vers un vêtement. C’est la première chose qui me séduit et me donne envie de m’intéresser à sa coupe puis à son prix.
Autre bonne nouvelle : la couleur ne bouge pas. Une fois l’angoisse du unboxing passé, place à l’angoisse du premier lavage. Encore une fois, Pangaia ne ma pas déçue.
Une matière réconfortante
Après avoir mis plusieurs centaines d’euros dans des pulls, le comble aurait été qu’ils grattent ou que je ne supporte pas leur contact avec ma peau. Là encore, pas de mauvaise surprise. La matière est douce et agréable sans être trop étouffante.
C’est assez paradoxal puisque lorsque je porte le sweat, je le trouve léger, je le sens à peine. Quand je ne le porte pas mais que je le touche, je le trouve doux, hyper moelleux.
Des pièces pour toutes les saisons
J’ai opté pour les sweats 365. Ils sont conçus pour être portés toute l’année au gré des saisons. Un pari hyper risqué ! Comment ce sweat peut me tenir chaud l’hiver sans me faire suer à grosse goutte l’été ? Pourtant c’est le cas. Bien sûr, j’ai laissé mes sweats au placard pendant la vague de chaleur. Mais dans l’ensemble, je les ai porté tout l’été. Le matin pour aller au sport. Le soir pour promener le chien. Au printemps et à l’automne, j’ai ajouté ma veste en jean oversize parce que je suis naturellement frileuse. Je préfère avoir chaud que froid.
Passion sweats oversize colorés
L’expérience Pangaia est un sans faute en ce qui me concerne. D’ailleurs, j’ai hâte de faire un tour au pop-up qui vient d’ouvrir aux Galeries Lafayette et craquer pour de nouveaux modèles et coloris. Effectivement, les pièces sont un peu chères. Mais elles ne craignent ni le temps, ni les lavages en machines. Côté tailles, j’ai pris du L et du XL. La fois prochaine, je ne prendrai que du XL car en ce moment je fais un bon 40 et j’aime être à l’aise et porter des sweats oversize.
Je te confirmerai cette tendance dans un prochain article, où une autre marque à surveiller qui possède également des sweats oversize colorés sera à l’honneur.
Stay Tuned